Archives pour août 2013

La bière et le vin est enfin HALAL CHEZ SUNNITE !

La bière est enfin HALAL!

La bière et le vin est enfin HALAL CHEZ SUNNITE ! dans actualités celtia-0410

Le cheikh Saâd Eddine El Hilali, professeur de jurisprudence islamique au sein de la prestigieuse université d’Al Azhar a

déclaré « qu’il est halal de boire de la bière ou du vin de dattes, tant qu’on n’est pas saoul ».

Mon père me disait la même chose, de son vivant.
Saâd Eddine El Hilali justifie que cette fetwa s’appuie sur le courant hanéfite, la plus ancienne des quatre écoles juridiques de l’islam sunnite, jugée par ailleurs plus souple. Cet avis religieux va tout de même à l’encontre du consensus de la majorité des Oulamas qui interdisent formellement toute boisson alcoolisée

http://www.eddenya.com/index.php/politique/3035-la-biere-est-enfin-halal

l’alcool et le coran

http://garbi.unblog.fr/2010/01/15/lalcool-et-le-coran/

 

la découverte de l’amérique par les musulmans avant les ……

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Les Phéniciens, ces grands navigateurs

Les Phéniciens, ces grands navigateurs

Partis de cités-Etats sur la côte libanaise, ils ont essaimé dans tout le monde antique, fondé un empire qui a fait trembler Rome, et auraient même bouclé le premier tour des côtes de l’Afrique. Retour sur un peuple fascinant, à qui nous devons beaucoup plus que nous ne le pensons.
Un navire phénicien gravé sur la face d'un sarcophage, au 2e siècle avant JC - Elie Plus/CC Un navire phénicien gravé sur la face d’un sarcophage, au 2e siècle avant JC – Elie Plus/CC
Leurs villes étaient situées sur ce qui est aujourd’hui le littoral du Liban et de la Syrie. Certaines, comme Tyr et Sidon, existent encore. D’autres ont disparu, comme l’une des plus puissantes d’entre elles, Ougarit, rasée par des envahisseurs au XIIe siècle avant notre ère. Et ce peuple de marchands et de navigateurs a laissé des traces indélébiles dans notre histoire.

Leur nom, « phénicien », viendrait peut-être du grec « phoinix », la « pourpre » tirée du murex, dont ils étaient de grands exportateurs dans tout le monde antique. Mais il pourrait également s’agir d’une déformation grecque du mot égyptien « fenkhu », définissant les « Asiatiques », les habitants du Proche-Orient pour l’Egypte.

A partir du Xe siècle avant J.C., les Phéniciens commencent à se répandre au-delà de la Méditerranée orientale, après avoir établi des bases à Chypre. Ils créent des comptoirs sur la côte nord-africaine, jusqu’en Tunisie et en Algérie, mais aussi en Sicile, à Malte (voir article maltais), en Sardaigne, en Corse et dans le sud de l’Espagne. Peu à peu, la plus importante de ces nouvelles cités, Carthage, éclipse par son rayonnement les villes plus anciennes du Levant. Du IVe au IIe siècle avant J.C., elle devient une grande puissance qui fait trembler la république romaine sur ses fondations au cours des guerres puniques (de Poeni, Phéniciens, en latin), avant d’être détruite en 146 av. J.C.

Marins réputés pour leurs prouesses, les Phénciens étaient des navigateurs recherchés. Quand l’empire perse s’assure la mainmise sur la Phénicie au VIe siècle avant notre ère, ce sont eux qui constituent l’essentiel de sa flotte. Explorateurs, aventuriers, les Phéniciens avaient coutume de franchir les redoutables Colonnes d’Hercule (le détroit de Gibraltar) pour aller commercer jusqu’en Cornouailles, en quête d’étain.

Ils auraient ainsi donc pu atteindre les Açores, même si les preuves restent ténues, et il est attesté qu’ils faisaient escale dans les Canaries. Deux traditions rapportent qu’ils auraient même exploré les côtes de l’Afrique, beaucoup plus au sud. Dans L’Enquête, Hérodote soutient que le pharaon Nékao II, qui régna de -610 à -595, aurait organisé une expédition confiée à des marins phéniciens, à qui il demanda de faire le tour de la « Libye » (l’Afrique) en partant par la « mer Erythrée » (la mer Rouge) puis en passant au nord par les Colonnes d’Hercule. Les Phéniciens auraient mis trois ans à accomplir cet exploit. Même si cela ne paraît pas complètement impossible, Hérodote est la seule source à en faire état qui nous soit parvenue. En revanche, le Périple d’Hannon semble historiquement plus sûr. Hannon, explorateur carthaginois qui devint plus tard le roi de sa ville, se serait lancé dans une expédition vers 500 av. J.C. et aurait ainsi poussé jusqu’au large de l’actuel Cameroun avant de rebrousser chemin. Il relata ensuite ses aventures dans son Récit du voyage du roi des Carthaginois Hannon autour des contrées qui sont au-delà des Colonnes d’Hercule, dont il subsiste une version grecque.

Au XVIIIe et au XIXe siècle, certains auteurs, impressionnés par les voyages bien réels des Phéniciens, ont prétendu qu’ils auraient pu découvrir l’Amérique longtemps avant les Vikings et Christophe Colomb. Une stèle contenant des inscriptions en phénicien aurait même été retrouvée à Paraiba, au Brésil, en 1872, mais beaucoup d’archéologues, contemporains et ultérieurs, ont considéré qu’il s’agissait d’un faux.

Qu’ils aient ou non traversé l’Atlantique, les Phéniciens nous ont fait un autre cadeau, essentiel au développement des civilisations occidentales : notre alphabet. L’alphabet latin, en effet, était au départ calqué sur l’alphabet grec, lequel s’était inspiré de l’alphabet phénicien.

Les arts martiaux chinois musulman

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http://youtu.be/m2py-S8tcng
Les arts martiaux chinois musulmans ont une longue histoire en Chine, plusieurs musulmans ont pratiqué les arts martiaux chinois aux niveaux les plus élevés. Il faut dire que la persécution lors de la dynastie Qing a largement motivé les musulmans chinois à pratiquer les arts martiaux. Les Hui ont commencé et à adapter plusieurs styles de wushu, comme le bajiquan, le piguaquan, le liu he quan et d’autres styles. Cangzhou, dans la province de Hebei était connu pour être un des berceaux des arts martiaux musulmans. Ils se démarquaient nettement des styles turcs pratiqués à Xinjiang. BAJIQUAN Le Bajiquan 八极拳 a été pratiqué au début par Wu Zhong, un musulman Hui du village Meng, à Cangzhou, pendant la dynastie Qing. Selon la tradition, Wu Zhong a été enseigné par un prêtre taoïste, Lai, et son disciple Pi. Il semblerait que le bajiquan et le piguaquan étaient enseignés en même temps, et ne formaient en fait qu’un seul style. Cependant, à la mort de Wu Zhong, sa fille aînée, Wu Rong épousa un homme dans le village de Luotong, toujours dans le comté de Cangzhou. Pour une raison, elle n’y enseigna seulement que le pigua, tandis qu’à Meng, seul le baji était enseigné. Quelques générations plus tard, Li Shuwen reunit les deux arts(1864-1934). Il était surnommé, le dieu de la lance à cause de son extraordinaire habileté avec. Li a eu beaucoup d’élèves connus, comme Huo Diange, son premier disciple, qui fut le garde du corps de Pu Yi, dernier empereur de Qin. Huo diange n’était pas Hui. Le dernier disciple de Li Shuwen, avant sa mort était Liu Yunqiao (1909-1992), à qui il a enseigné les 10 dernières années de sa vie. Liu était déjà très performant en long fist et en mizongquan. Les gardes du corps de Sun Yat Sen, Chiang Kai shek et Mao Zedong étaient des élèves du grand mâitre Liu. Un des disciples de Liu très réputé dans l’ouest est Adam Hsu. Le bajiquan est quelquefois considéré comme un système interne qui se rapproche plus du taijiquan que des shaolin. Bien que le bajiquan ne soit plus réservé aux Huis, il y a encore des huis très renommés dans le domaine, comme Wu Lianzhi, Ma Xianda, Ma Lingda, Ma Mingda et d’autres. Arts martiaux chinois musulmans ZHAQUAN Le Zhaquan 查拳 ou Chaquan est une boxe islamique (shaolin du nord), attribuée à un musulman Zhamir, qui venait de Xinjiang, pendant la dynastie Ming. Très répandue dans toute la Chine, surtout à Shandong et Henan, le zhaquan est un art martial grâcieux, avec des mouvements étendus, beaucoup de figures acrobatiques et aussi beaucoup d’armes. Les styles Shandong sont souvent répartis en 3 familles : zhang, yang et li. QISHIQUAN Le Qishiquan 七士拳 également connu sous le nom de qishiquan (七士拳 les 7 guerriers). Originellement, cette appellation faisait référence aux sept saints de l’islam mais, a muté vers les 7 formes. Cet art a commencé parmi les musulmans à Hénan, et a finalement atteint Shanxi. Comme son nom l’indique, le qishiquan est basé sur sept postures principales, à partir desquels des enchaînements sont créés. Malheureusement, l’art martial s’est raréfié, et peu de personne le pratiquent encore. HUIHUI SHIBA ZHOU Le Huhui Shiba Zhou 回回十八肘 était une discipline tellement secrète, qu’on l’a crue disparue. Mais en 1970, on a retrouve Ju Kui qui connaissait ce style. Il était né en 1886, et était issu d’une famille Hui de Hebei. A l’âge de six ans, il commença à apprendre auprès de Sun Dekui, à Shandong. Il s’est entraîné 17 ans et a appris 19 types d’arts martiaux. A 33 ans, il a voulu encore s’améliorer, et est parti apprendre auprès de Yang Wanlu, un imam de la mosquée de Tong Shou. XINYILIUHEQUAN Le Xinyiliuhequan 心意六合拳 est un art martial qui s’est développé dans la province de Hénan parmi le peule Hui. C’est un des arts martiaux les plus puissants, et vraiment destiné au combat. Pendant longtemps, il a été considéré comme la discipline la plus efficace lors de combats, bien que finalement peu connaissait les méthodes du style. Il y a moins de méthodes dans le Xinyiliuhequan, il y a 10 grandes figues, et quelques prises. Cela ressemble beaucoup à des combats de bras. Pendant deux siècles, cette discipline a été gardée secrète, et n’était transmise qu’à quelques musulmans. Au début du siècle, les Han ont commencé à enseigner, mais aujourd’hui encore, les meilleurs se trouvent dans la communauté Hui, principalement dans la province de Hénan. On dit souvent que cet art martial est composé de deux branhes, le style Lushan, et le style Luoyang, ce dernier étant difficile à trouver en dehors de la communauté Hui. PIGUAQUAN Le Piguaquan 劈掛拳 est également connu sous le nom de Piguazhang 劈掛掌. On raconte que c’est Wu Zhong qui a rendu cet art martial célèbre, un chinois musulman du village de Meng. Wu avait appris cette technique auprès de moins daoïstes, Lai et Pi en 1727. Puis il transmit son savoir à sa fille aînée Wu Rong, considérée comme le maître de la deuxième génération. Quand elle se maria, elle l’apprit aussi à son mari. Mais quand ils l’enseignèrent à leur tour, ils séparèrent la discipline en deux parties, le baji et le pigua. Ils n’enseignèrent donc que le piguaquan à leurs élèves du village de Luo Tong, et le Bajiquan n’était enseigné qu’au village Meng. TANTUI Le Tantui 弹腿 est originaire de Tourfan, et sert souvent d’entrâinement pour le zhaquan. Le tantui a été adapté et modifié pour servir d’entrâinement pour d’autres arts martiaux. Lire plus sur : http://www.chine-informations.com/guide/arts-martiaux-chinois-musulmans_2640.html


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